dimanche 17 octobre 2010

"Cimetière de monastère dans la neige" / Caspar David Friedrich (1819)

N’appelez pas pour l’heure, je ne pourrait décrocher.
J’écoute battre mon coeur, ce n’est sans doute qu’une idée
J’essaye de fermer les yeux, mais sa ne veut pas passer.
N’y aura-t-il jamais personne, quelqu’un pour me désenvouter...

Elle a maudit la fièvre de ma bouche,
Un brin malsain, pour une fois je me couche,
Elle  a maudit la fièvre de ma bouche,
Mais... Quel sainte n’y touche...

C’est regard à peine déguisé, je ne peut plus les supporter.
Partir à l’aube ou ne rien faire, je ne peux me décider.
Je m’abrite sous le poids de mes maux, j’ai bien peur de m’être déguisé.
Mais alors que dois-je faire, je suis totalement dépassé.

Elle a maudit la fièvre de ma bouche,
Un brin malsain, pour une fois je me couche,
Elle a maudit la fièvre de ma bouche,
Mais... Quel sainte n’y touche...

Quand elle appel mon corps, je l’aime plus fort,
Vipère au sein d’un corps conquistador de l’adultère.
Quand elle ampute mon coeur, je ne compte mes heures,
Elle fait de moi un décor, espérant son retour.

Elle a maudit la fièvre de ma bouche,
Un brin malsain, pour une fois je me couche,
Elle a maudit la fièvre de ma bouche,
Mais... Quel sainte n’y touche...

Elle a maudit la fièvre de ma bouche,
Un brin malsain, pour une fois je me couche,
Elle a maudit la fièvre de ma bouche,
Mais... Quel sainte n’y touche...


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