De profundis
Sur le fond de mes nuits l'espoir, de son majeur
Dessine entre nous un espace intolérable
Obsédant silence, interminable attente
J'ai peur du réveil comme on a peur du vide
Je ne vois que l'infini attrait de tes lèvres
Tes effluves se répandent, renforçant mes ardeurs
Au petit matin, toujours du vertige hanté
Je déteste le temps et la réalité
Jaloux de ce qui vivent au royaume des songes
Lien pour en (sa)voir plus sur le peintre :
http://www.farea.com/artists_createurs/bordat_modele/bordat_modeles.php
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